E-auction 542-466313 - fme_466611 - DEUXIÈME RÉPUBLIQUE Denys Auguste Affre, archevêque et martyr
得先注册又得到批准才可以报价。为了报价注册. 客户应该得到公司允许,那种过程需要 48 个小时。别等出售结束那一天才登记。您报价的话等于您赞成买那物品,而且按« 保价 » 证明您接受 cgb.fr 因特网拍卖使用法.
报价时只可以出全数值欧元总额。物品描述也说明销售结束时间,结束后出价都不会生效。 报价命令转达有时变动,等到最后秒钟增加否决的可能会。想多了解的话请注意 因特网拍卖常问
购货人不付费
购货人不付费
估算 : | 25 € |
价格 : | 5 € |
最高出价 : | 9 € |
拍卖结束日期 : | 04 September 2023 18:23:20 |
竞拍人 : | 3 竞拍人 |
种类 Denys Auguste Affre, archevêque et martyr
日期: 1848
材质 brass
直径 27,5 mm
模子方针 12 h.
重量 4,03 g.
侧面 lisse
印模 sans poinçon
稀少度 R2
关于品相的说明
Aspect légèrement nettoyé. Traces de coups et rayures
正面
正面的文字 MGNEUR AFFRE ARCHEVEQUE DE PARIS.
正面的说明书 Son buste à droite, . (fleur) . sous le buste.
背面
背面的文字 MORT / POUR L’AMOUR / DE DIEU / ET DES / FRANÇAIS / LE 27 JUIN / 1848 / . (FLEUR) ..
背面的说明书 Inscription en sept lignes entre deux palmes.
评论
Cet archevêque eut un destin tragique, nous raconte wikipedia “ Pendant les insurrections de juin 1848, il crut que sa présence près des barricades pût être un moyen de ramener la paix. Il en fit part au général Louis Eugène Cavaignac, qui le mit en garde contre les dangers qu’il courrait. « Ma vie, répondit-il, a peu de valeur, je la risquerai volontiers. »
Le 25 juin, les tirs ayant cessé à sa demande, il apparut sur la barricade à l'entrée du Faubourg Saint-Antoine, accompagné par M. Albert, de la Garde Nationale, habillé comme un ouvrier et arborant une branche verte en signe de paix, et par Pierre Sellier, un domestique qui lui était dévoué. Ses deux vicaires généraux, Antoine Jaquemet et Jules Ravinet, futurs évêques de Nantes et de Troyes, sont également présents sur les lieux mais auraient été séparés de lui dans la confusion générale.
Il fut accueilli dans la stupeur, mais à peine eut-il prononcé quelques mots qu'un coup de feu (par accident ?) partit des lignes de la Garde nationale et relança les hostilités. L'archevêque fut touché par une balle perdue (sans qu'on ne sache avec certitude, aujourd'hui encore, de quel côté celle-ci provenait),"on a tout lieu de croire qu'il a été victime d'un accident, et non d'un assassinat", écrivait le National. On l'amena au presbytère de Saint-Antoine, et il fut ramené le lendemain au palais épiscopal, où il mourut le 27 juin, vers 4 h 30 du matin2. Ses dernières paroles furent une citation de l'Évangile de Jean suivie d'un appel à la paix : « Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis, que mon sang soit le dernier versé »3. Le lendemain l'Assemblée nationale vota l'hommage suivant : « L'Assemblée nationale regarde comme un devoir de proclamer sa religieuse reconnaissance et sa profonde douleur pour le dévouement et la mort saintement héroïque de Monseigneur l'archevêque de Paris.
Les obsèques officielles, le 7 juillet, furent un spectacle émouvant. Certaines biographies parlent de 200 000 personnes qui suivaient le cortège. Le cœur de l'archevêque fut placé dans une urne pour être gardé dans la chapelle des Carmes.
Pour le reste de sa biographie http://fr.wikipedia.org/wiki/Denys_Affre .
Le 25 juin, les tirs ayant cessé à sa demande, il apparut sur la barricade à l'entrée du Faubourg Saint-Antoine, accompagné par M. Albert, de la Garde Nationale, habillé comme un ouvrier et arborant une branche verte en signe de paix, et par Pierre Sellier, un domestique qui lui était dévoué. Ses deux vicaires généraux, Antoine Jaquemet et Jules Ravinet, futurs évêques de Nantes et de Troyes, sont également présents sur les lieux mais auraient été séparés de lui dans la confusion générale.
Il fut accueilli dans la stupeur, mais à peine eut-il prononcé quelques mots qu'un coup de feu (par accident ?) partit des lignes de la Garde nationale et relança les hostilités. L'archevêque fut touché par une balle perdue (sans qu'on ne sache avec certitude, aujourd'hui encore, de quel côté celle-ci provenait),"on a tout lieu de croire qu'il a été victime d'un accident, et non d'un assassinat", écrivait le National. On l'amena au presbytère de Saint-Antoine, et il fut ramené le lendemain au palais épiscopal, où il mourut le 27 juin, vers 4 h 30 du matin2. Ses dernières paroles furent une citation de l'Évangile de Jean suivie d'un appel à la paix : « Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis, que mon sang soit le dernier versé »3. Le lendemain l'Assemblée nationale vota l'hommage suivant : « L'Assemblée nationale regarde comme un devoir de proclamer sa religieuse reconnaissance et sa profonde douleur pour le dévouement et la mort saintement héroïque de Monseigneur l'archevêque de Paris.
Les obsèques officielles, le 7 juillet, furent un spectacle émouvant. Certaines biographies parlent de 200 000 personnes qui suivaient le cortège. Le cœur de l'archevêque fut placé dans une urne pour être gardé dans la chapelle des Carmes.
Pour le reste de sa biographie http://fr.wikipedia.org/wiki/Denys_Affre .