bpv_153721 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
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所有在网站上销售的产品 (2015)
价格 : 175.00 €
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种类 Tétradrachme syro-phénicien
日期: 218-220
铸币厂名称/城市 Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
材质 billon
直径 26,00 mm
模子方针 12 h.
重量 14,37 g.
稀少度 R2
关于品相的说明
Faible usure de circulation, flan trop court pour le coin de droit, style du revers particulièrement mauvais
出版目录中的项代码 :
家谱
Cet exemplaire est le 0258_002 de la base TSP, il provient d’un lot de février 1996, relevé sur les plateaux d’un marchand anglais ambulant
正面
正面的说明书 Elagabal tête laurée à gauche, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête, un reste de draperie devant et derrière le buste.
正面铭文 AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB
正面的翻译 Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
背面
背面的说明书 Aigle au style de Laodicée légèrement debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne lisse de laurier dans son bec, une étoile à huit branches entre les pattes.
背面铭文 DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E.
背面的翻译 (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
评论
Les bustes à gauche se retrouvent dans la plupart des grandes séries d’Elagabal sans que l’on puisse, dans l’état actuel des connaissances, leur attribuer un sens particulier.
Bien que classé par commodité à Antioche, ce type a été attribué au graveur de Laodicée en Séleucie et Pierie, par identité de style du revers avec les frappes de cet atelier sous Caracalla et Macrin.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : aucun portrait n’est compatible avec un style de Laodicée tel que nous le voyons sous Caracalla ou Macrin ; en revanche, cette série de revers “laodicéen” est bien fournie. On peut donc penser que ce graveur fut exclusivement chargé de graver des revers tandis que d’autres, dans le même atelier, gravaient des droits.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, onze exemplaires sont maintenant répertoriés, dont en musées British Museum et ANS.
Bien que classé par commodité à Antioche, ce type a été attribué au graveur de Laodicée en Séleucie et Pierie, par identité de style du revers avec les frappes de cet atelier sous Caracalla et Macrin.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : aucun portrait n’est compatible avec un style de Laodicée tel que nous le voyons sous Caracalla ou Macrin ; en revanche, cette série de revers “laodicéen” est bien fournie. On peut donc penser que ce graveur fut exclusivement chargé de graver des revers tandis que d’autres, dans le même atelier, gravaient des droits.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, onze exemplaires sont maintenant répertoriés, dont en musées British Museum et ANS.