得先注册又得到批准才可以报价。为了报价注册. 客户应该得到公司允许,那种过程需要 48 个小时。别等出售结束那一天才登记。您报价的话等于您赞成买那物品,而且按« 保价 » 证明您接受 cgb.fr 因特网拍卖使用法.
报价时只可以出全数值欧元总额。物品描述也说明销售结束时间,结束后出价都不会生效。 报价命令转达有时变动,等到最后秒钟增加否决的可能会。想多了解的话请注意 因特网拍卖常问
购货人不付费
购货人不付费
估算 : | 190 € |
价格 : | 54 € |
最高出价 : | 62 € |
拍卖结束日期 : | 06 June 2016 15:14:00 |
竞拍人 : | 8 竞拍人 |
种类 Tétradrachme syro-phénicien
日期: 218-220
铸币厂名称/城市 Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
材质 billon
直径 26,00 mm
模子方针 6 h.
重量 12,22 g.
稀少度 R3
关于品相的说明
Faible usure de circulation mais décentrement au droit, belle surface au revers
出版目录中的项代码 :
家谱
Cet exemplaire est le 0269A_004 de la base TSP
正面
正面的说明书 Buste cuirassé (ptéryges bien visibles) et drapé d’Elagabal lauré à droite, vu de trois-quarts de face, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête.
正面铭文 AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB
正面的翻译 Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
背面
背面的说明书 Aigle aux ailes lignées debout à droite sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à gauche, tenant une couronne lisse de laurier dans son bec, une étoile à huit rais entre les pattes.
背面铭文 DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E.
背面的翻译 (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
评论
Cette variante avec le buste cuirassé vu de face pour cette série aux ailes lignées n’était pas connu lors de la rédaction du Prieur.
Ce coin d’effigie cuirassée vue de face est de la même main que les coins utilisés pour d’autres revers réalisés par d’autres graveurs. On remarquera sur cet exemplaire qu’il est possible qu’il soit refappé sur une frappe incuse, on note au dessus de la tête la trace d’une légende en creux.
La série des “aigles aux ailes lignées” correspond à quelques graveurs que l’on ne trouve pas avant Elagabal mais dont la caractéristique commune est de traiter les plumes des ailes en petites lignes horizontales. L’examen des droits montre que cette série partage manifestement des graveurs de droit avec d’autres séries.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, huit exemplaires sont maintenant répertoriés, aucun en musée.
This variant with the armored bust seen from the front for this series with lined wings was not known when the Prior was written.
This die of an armored effigy seen from the front is by the same hand as the dies used for other reverses made by other engravers. We will note on this example that it is possible that it is re-stamped on an incuse strike, we note above the head the trace of a hollow legend.
The series of “eagles with lined wings” corresponds to a few engravers who are not found before Elagabalus but whose common characteristic is to treat the wing feathers in small horizontal lines.. Examination of the rights shows that this series clearly shares engravers of rights with other series.
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: several obverse dies are found with other reverse engravers. We can therefore assume that all these engravers worked in the same workshop, unless, of course, we one day manage to prove that the obverse dies travelled.. Such traveling dies have been identified in the region for bronzes from this period: again, an analysis of the dies' connections would be essential to understanding the coinage..
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, eight examples are now listed, none in museums.
Ce coin d’effigie cuirassée vue de face est de la même main que les coins utilisés pour d’autres revers réalisés par d’autres graveurs. On remarquera sur cet exemplaire qu’il est possible qu’il soit refappé sur une frappe incuse, on note au dessus de la tête la trace d’une légende en creux.
La série des “aigles aux ailes lignées” correspond à quelques graveurs que l’on ne trouve pas avant Elagabal mais dont la caractéristique commune est de traiter les plumes des ailes en petites lignes horizontales. L’examen des droits montre que cette série partage manifestement des graveurs de droit avec d’autres séries.
Les exemplaires de cette série sont conformes à l’idée d’un regroupement des graveurs à Antioche : plusieurs coins de droit se retrouvent avec d’autres graveurs de revers. On peut donc penser que tous ces graveurs travaillaient dans le même atelier, sauf, bien entendu, si l’on arrive un jour à prouver que les coins de droit voyageaient. De tels coins voyageurs ont été repérés dans la région pour des bronzes à cette période : là encore, une analyse des liaisons de coins serait essentielle à la compréhension du monnayage.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, huit exemplaires sont maintenant répertoriés, aucun en musée.
This variant with the armored bust seen from the front for this series with lined wings was not known when the Prior was written.
This die of an armored effigy seen from the front is by the same hand as the dies used for other reverses made by other engravers. We will note on this example that it is possible that it is re-stamped on an incuse strike, we note above the head the trace of a hollow legend.
The series of “eagles with lined wings” corresponds to a few engravers who are not found before Elagabalus but whose common characteristic is to treat the wing feathers in small horizontal lines.. Examination of the rights shows that this series clearly shares engravers of rights with other series.
The examples of this series are consistent with the idea of a grouping of engravers in Antioch: several obverse dies are found with other reverse engravers. We can therefore assume that all these engravers worked in the same workshop, unless, of course, we one day manage to prove that the obverse dies travelled.. Such traveling dies have been identified in the region for bronzes from this period: again, an analysis of the dies' connections would be essential to understanding the coinage..
The issues of Elagabalus are classified by reference to their reverse engraver, when this can be compared to a previous issue identified for a city, and by style more generally when this is not the case.. There are around thirty reverse engravers and less than ten obverse engravers..
The question of whether the Caracalla workshops, still in production under Macrinus, were preserved or whether all the engravers were grouped together in Antioch is not settled, due to the lack of an analysis of the die bonds.. It is nevertheless believed that this was the case, if only because of the systematic presence of Delta Eta in the field of the reverse.
All official tetradrachms of Elagabalus bear the date of the second consulship, the hiatus between Caracalla and the new emperor being considered the latter's first consulship.. Judging by some issues, the minting certainly ended, in a complete degeneration of alloy and style, around 220, in any case before the third consulate..
Note that the sigmas are engraved in C.
In the TSP database maintained by Michel Prieur, eight examples are now listed, none in museums.