fme_443749 - LOUIS XVIII Médaille, François de Malherbe, Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres
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种类 Médaille, François de Malherbe, Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres
日期: 1815
铸币厂名称/城市 14 - Caen
材质 bronze
直径 27,15 mm
模子方针 12 h.
硬币制模工 GATTEAUX Jacques-Édouard (1788-1881)
重量 9,6 g.
侧面 lisse
关于品相的说明
Agréable médaille mais avec des traces d’usure et une patine hétérogène
正面
正面的文字 ENFIN MALHERBE - VINT.
正面的说明书 Buste lauré de Malherbe à gauche.
背面
背面的文字 ACADÉMIE DES SCIENCES ARTS ET BELLES LETTRES DE CAEN // ÉTUDE ET AMITIÉ.
背面的说明书 Légende circulaire et en trois lignes horizontales.
评论
François de Malherbe est un poète français, né à Caen vers 1555 et mort à Paris le 16 octobre 1628. Il est le fils de François, écuyer, seigneur de Digny, conseiller au bailliage et présidial de Caen, et de Louise Le Vallois.
Poète officiel de 1605 à 1628, son évolution de la magnificence à la sobriété traduit le passage du goût baroque au goût classique, amenant la poésie vers un grand dépouillement. Son influence a été considérable sur la poésie française. Bien qu'il n'ait pas écrit d'art poétique, une doctrine était tirée de ses œuvres, de ses annotations sur son exemplaire des poésies de Philippe Desportes et des remarques orales rapportées par ses contemporains. Ce sont notamment ses disciples François Maynard et Honorat de Bueil de Racan qui, suivant leur maître, créent le corpus louant « l'harmonie classique », qui prédominera pendant près d'un siècle.
Durant tout le XVIIe siècle, Malherbe est la référence majeure des théoriciens classiques. Dans son Art Poétique (1674), Nicolas Boileau le loue avec ferveur, commençant son éloge par le célèbre hémistiche « Enfin Malherbe vint »..
Poète officiel de 1605 à 1628, son évolution de la magnificence à la sobriété traduit le passage du goût baroque au goût classique, amenant la poésie vers un grand dépouillement. Son influence a été considérable sur la poésie française. Bien qu'il n'ait pas écrit d'art poétique, une doctrine était tirée de ses œuvres, de ses annotations sur son exemplaire des poésies de Philippe Desportes et des remarques orales rapportées par ses contemporains. Ce sont notamment ses disciples François Maynard et Honorat de Bueil de Racan qui, suivant leur maître, créent le corpus louant « l'harmonie classique », qui prédominera pendant près d'un siècle.
Durant tout le XVIIe siècle, Malherbe est la référence majeure des théoriciens classiques. Dans son Art Poétique (1674), Nicolas Boileau le loue avec ferveur, commençant son éloge par le célèbre hémistiche « Enfin Malherbe vint »..