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v43_1209 - INGHILTERRA - ANGLOSASSONE Obole (ou demi-denier) au quatre-feuilles
MONNAIES 43 (2010)
起拍价 : 180.00 €
估价 : 300.00 €
竞价记录 : 180.00 €
起拍价 : 180.00 €
估价 : 300.00 €
竞价记录 : 180.00 €
种类 Obole (ou demi-denier) au quatre-feuilles
日期: c. 710-750
铸币厂名称/城市 Frise, Maastricht
材质 silver
直径 12 mm
重量 0,56 g.
稀少度 R3
关于品相的说明
Flan un peu court, mais avec les types de droit et de revers complets et de frappe vigoureuse. Aspect un peu granuleux avec une patine sombre, surtout dans les champs, et plus claire sur les reliefs
正面
正面的文字 ANÉPIGRAPHE.
正面的说明书 Buste diadémé à gauche, le cou perlé ; une croix latine devant le visage et trois globules posés en triangle derrière la nuque.
背面
背面的文字 ANÉPIGRAPHE.
背面的说明书 Quatre-feuilles cantonné de trois globules en triangles.
评论
Si les monnaies coupées sont bien attestées à l'époque romaine et à l'époque gauloise, tout le monde pensera aux as de Nîmes ou aux potins, ce phénomène est peu ou pas attesté à l'époque mérovingienne. Le monnayage est pourtant restreint et principalement connu par des triens en ou or des deniers en argent. Le monnayage de bronze est excessivement rare et l'étude des oboles semble n'être un phénomène que très récent. Dans ce contexte et face à la rareté des monnaies divisionnaires, il est presque logique que la population ou les marchands aient eu recours à la découpe des monnaies comme celle proposée ici.
Quatre deniers coupés en deux sont repris dans l’article de référence sur les oboles mérovingiennes, n° 1-4 p. 284 et 285 de la RN 2007. Un autre exemplaire a été vendu sous le n° 977 de MONNAIES 32.
Malgré les diverses attributions proposées, dans son Numéraire Mérovingien G. Depeyrot ne se prononce pas en mettant les monnaies de ce type dans une série typologique “entrelacs au revers” (cf. pl. 30). Il précise, page 175, que ces “deniers aux entrelacs seraient attribués à Poitiers par d’Amécourt (B. 5995). Pour J. Lafaurie (RN 1996) ces monnaies seraient à attribuer à Maastricht”. La précision selon laquelle pour d'Amécourt “le quatrefeuille doit être attribué à Auxerre et le trèfle à Poitiers” semble assez simpliste (cf. Belfort tome IV, page 281).
L’exemplaire n° 1693 de MONNAIES 38, dans un état inférieur, a été vendu 420€ sur un ordre de 456€.
If cut coins are well attested in the Roman and Gallic periods, everyone will think of the aces of Nîmes or gossip, this phenomenon is little or not attested in the Merovingian period. The coinage is however limited and mainly known by gold triens and silver denarii.. Bronze coinage is extremely rare and the study of obols seems to be a very recent phenomenon.. In this context and given the scarcity of fractional coins, it is almost logical that the population or merchants resorted to cutting coins like the one proposed here..
Four deniers cut in two are included in the reference article on Merovingian obols, no. 1-4 p.. 284 and 285 of the RN 2007. Another example was sold under number 977 of COINS 32.
Despite the various attributions proposed, in his Merovingian Numerary G. Depeyrot does not pronounce himself by placing coins of this type in a typological series “interlacing on the reverse” (cf.. pl. 30). He specifies, on page 175, that these “interlaced coins” would be attributed to Poitiers by d'Amécourt (B. 5995). For J. Lafaurie (RN 1996) these coins should be attributed to Maastricht”. The clarification that for d'Amécourt \\\"the quatrefoil should be attributed to Auxerre and the clover to Poitiers\\\" seems rather simplistic (cf.. Belfort volume IV, page 281).
example No. 1693 of MONNAIES 38, in inferior condition, was sold for €420 on an order of €456
Quatre deniers coupés en deux sont repris dans l’article de référence sur les oboles mérovingiennes, n° 1-4 p. 284 et 285 de la RN 2007. Un autre exemplaire a été vendu sous le n° 977 de MONNAIES 32.
Malgré les diverses attributions proposées, dans son Numéraire Mérovingien G. Depeyrot ne se prononce pas en mettant les monnaies de ce type dans une série typologique “entrelacs au revers” (cf. pl. 30). Il précise, page 175, que ces “deniers aux entrelacs seraient attribués à Poitiers par d’Amécourt (B. 5995). Pour J. Lafaurie (RN 1996) ces monnaies seraient à attribuer à Maastricht”. La précision selon laquelle pour d'Amécourt “le quatrefeuille doit être attribué à Auxerre et le trèfle à Poitiers” semble assez simpliste (cf. Belfort tome IV, page 281).
L’exemplaire n° 1693 de MONNAIES 38, dans un état inférieur, a été vendu 420€ sur un ordre de 456€.
If cut coins are well attested in the Roman and Gallic periods, everyone will think of the aces of Nîmes or gossip, this phenomenon is little or not attested in the Merovingian period. The coinage is however limited and mainly known by gold triens and silver denarii.. Bronze coinage is extremely rare and the study of obols seems to be a very recent phenomenon.. In this context and given the scarcity of fractional coins, it is almost logical that the population or merchants resorted to cutting coins like the one proposed here..
Four deniers cut in two are included in the reference article on Merovingian obols, no. 1-4 p.. 284 and 285 of the RN 2007. Another example was sold under number 977 of COINS 32.
Despite the various attributions proposed, in his Merovingian Numerary G. Depeyrot does not pronounce himself by placing coins of this type in a typological series “interlacing on the reverse” (cf.. pl. 30). He specifies, on page 175, that these “interlaced coins” would be attributed to Poitiers by d'Amécourt (B. 5995). For J. Lafaurie (RN 1996) these coins should be attributed to Maastricht”. The clarification that for d'Amécourt \\\"the quatrefoil should be attributed to Auxerre and the clover to Poitiers\\\" seems rather simplistic (cf.. Belfort volume IV, page 281).
example No. 1693 of MONNAIES 38, in inferior condition, was sold for €420 on an order of €456